Jean-François Capony et le choeur AMOS
La parole par le chant, une initiation au Travail d’Art qu’est le chant liturgique. Un concert du répertoire classique et de la musique byzantine, une création interactive avec le chœur AMOS.
Dimanche 27 septembre. 17h00 (Eglise)
L’Evangile de Jean par le chant.
De tout temps et de toute culture, le chant dit « sacré » a été, et demeure, la plus haute expression de la foi des hommes en leur(s) dieu(x). Toutes les religions, sans exception, ont développé des cultes ou des liturgies dans lesquelles le chant a tenu et tient toujours une place prépondérante. Même celles qui ont évacué toute représentation graphique, picturale ou sculpturale, ont gardé le chant comme vecteur essentiel pouvant unir la divinité à l’humanité.
De tout temps et de toute culture, le chant dit « sacré » a été, et demeure, la plus haute expression de la foi des hommes en leur(s) dieu(x). Toutes les religions, sans exception, ont développé des cultes ou des liturgies dans lesquelles le chant a tenu et tient toujours une place prépondérante. Même celles qui ont évacué toute représentation graphique, picturale ou sculpturale, ont gardé le chant comme vecteur essentiel pouvant unir la divinité à l’humanité.
Le christianisme, qui a influencé - pour ne pas dire façonné - la culture de l’Europe depuis vingt siècles, ne déroge pas à ce constat. Pas une cathédrale, pas une basilique, pas une abbatiale, pas une église de ville ou de campagne, si modeste soit-elle qui ne fut bâtie dans le seul but de faire résonner en ses voûtes, le chant de l’ineffable Parole de Dieu faite chair en Jésus de Nazareth, « mystère caché depuis les siècles », comme le dira Saint Paul (Col. 1,26), celui du Dieu fait homme, du Créateur devenu créature.
Il était donc tout naturel qu’un festival d’art et de spiritualité, comme celui des « Jours de lumière » de Saint Saturnin, inscrive à son programme des manifestations de chants dit « sacrés » ou « spirituels » et plus précisément « liturgiques ».
